mardi 5 juillet 2011

Les déesses se déchainent: Présentation

Les Déesses se déchainent

Salut, Je vais vous présenter ma fanfiction que je publie sur le site fanfiction.fr sous le pseudo de Elzaim Cheshire. Cette fanfiction est un défi que j'ai relevée et porte le nom de: "Les Déesses se déchainent". L'histoire et sur le thème de Saint Seiya plus connus chez nous sous le nom "des chevaliers du zodiaque". Le défi dans son ensemble proposée par Manaka était celui-ci:

Le contexte de l'histoire est que le monde est en paix et les différents divinité et chevaliers respectif, vivent tranquillement leur vie.
Poséidon à retrouver sa femme Amphitrite avec qui il est resté et vivent dans le royaume sous mari.
Hadès vit depuis peu avec Persephone qui est revenu vers lui depuis qu'il à cessait de faire la guerre.
Et Athéna, la célibataire, tente toujours de sortir avec Seiya parce qu'elle l'aime.

Les trois déesses qui sont amies dans l'histoire et qui se racontent tout de leur vie privée. Décide un jour,de tout faire pour se venger de leur homme.

Pourquoi ? :
Parce qu'Amphitrite ne supporte plus de voir Poséidon, véritable Casanova, dans leur lit conjugale avec des inconnues d'un soir.
Parce que Perséphone, déteste Hadès qui en plus de l'oublier à cause des affaires du royaumes qu'il doit gérer, à oser oublier leur anniversaire de mariage.
Quand à Athéna, celle ci hait le fait que Seiya suit son devoir de chevalier envers elle, plutôt d'écouter son cœur.

Ensemble, ces trois jeunes femmes vont mettre en place, un plan des plus spectaculaire, pour faire ouvrir les yeux à leur homme respectif, que le plus important dans leur vie, ce sont elles. Et quoi de mieux que de simuler leur enlèvement, par de nouveaux ennemis, qu'elles vont incarné.

Voilà à peu près l'essentiel de l'histoire ou les femmes seront plus mis en avant que les hommes.
La description de Amphitrite et Persephone est libre. Vous pouvez tout aussi bien changé leur nom et utiliser celui qu'elles ont eut en se réincarnant sur terre.

Condition : Il faut que Héra ou Déméter ou les deux, soient présentes dans l'histoire, pour aider les trois déesses dans leur entreprise ou parce que tout trois ont demandé conseil et aide auprès d'elles.
Héra accorde son aide, parce qu'elle juge que poséidon ressemble bien à son frère Zeus et donc mérite amplement d'être puni.
Déméter les aides, parce qu'elle à tout à gagner dans l'histoire, puisque cela lui permettra de créer des ennuis à Hadès, qu'elle n'a jamais pu accepter comme le mari de sa fille.

La description d'Héra est libre sauf pour Déméter, qui devra avoir quelque similitude avec sa fille Perséphone, pour attester le lien mère-fille, qu'elles entretiennent.

Vous pouvez inclure d'autre dieu s'il vous le voulez mais leur rôle doit être assez important dans l'histoire.

Et voici le petit résumé de présentation que j'ai fait par la suite:

Un monde en paix, voilà le mot qui est sur toutes les lèvres. Papa Zeus à été formel, plus de guerres sinon....
Dans ce monde en paix trois Déesses livrent Bataille pour leurs amours :
Athéna à qui l'ont a ressuscités ses Chevaliers en a assez d'écouter sa sœur aînée Artémis, la célibataire endurcie. Dans ce corps d'adolescente elle ne souhaite qu'une chose : puisque la guerre est maintenant finie il est temps de se laisser vivre et quoi de mieux que de soupirer auprès de son soupirant ? Le problème est que le soupirant en question n'a pas tant envie de répondre aux attentes de sa belle...

Amphirite, Déesse de l'Océan n'a qu'une seule envie, exterminer la vermine qui a des vues sur son époux. Avec l'aide de Delphin son fidèle serviteur qui ne cesse de se demander dans qu'elle galère il s'est embarqué, la Déesse cherche le moyen le plus sûr pour faire mordre à l'hameçon son crétin de mari pour qu'il lui revienne et cesse enfin de la tromper avec de la friture dans le lit conjugale.

Perséphone, Déesse des Enfers à pendant un moment gouverné les Enfers seule durant l'absence de son mari. Aujourd'hui Zeus l'a ramené à la vie mais rien n'est plus comme avant. La Déesse pleure les temps anciens où son mari se pliait en quatre pour elle. Aujourd'hui ce sont les Enfers qui passent avant elle, avant même leur anniversaire de mariage.

Ses trois Déesses sont amies dans la vie. Autour d'une tasse de thé elles décident sur les conseils de Démeter mère de Perséphone qui souhaite le meilleur pour sa fille, d'Héra qui veut donner l'exemple à Zeus aussi coureur de jupons que son frère Poséidon et d'Hermès qui lui souhaite rigoler un bon coup et jouer un mauvais tour à ses oncles, de mettre en place un plan aussi machiavélique que spéctaculaire : Simuler et organiser leur propre enlèvement.

Avec ça la paix risque d'être quelque peu perturbée. Pourvu que papa Zeus ne s'en rende pas compte !

Voilà cette Fanfiction est toujours en cour est à quatre chapitre publiés et chacun d'entre eux il y a une illustration que j'ai faite dont celle-ci qui représente les trois Déesses de gauche à droite: Perséphone, Athéna et Amphitrite et en dessous: Hadès Seiya et Poséidon.

Introduction

La plupart des personnages appartiennent à Masami Kurumada. Le personnage narrateur Cheshire est le personnage du chat d'Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll.

 Les dieux et déesses : Perséphone, Amphitrite, Héra, Déméter et Hermès appartiennent à la mythologie grecque  seul leurs description m'appartiens.

Le voleur Genesis appartiens à l'univer de Square Enix, il s'agit de Genesis Rhapsodos de Final Fantasy VII Crisis Core.

Le voleur Childérich appartient au jeux Suikoden V.

Les personnages inventés par moi : Delphin, marina du dauphin inspiré du dauphin qui enleva Amphitrite dans la mythologie grecque, les voleurs au service de Hermès: Anro , Lenwë, Mattew, Asriel, Anarisse, Tama et l'animal de compagnie d'Amphitrite qui dévore les servantes.
S'il vous plaît veuillez ne pas prendre/copier ses illustrations, ni les personnages que j'ai pu inventées pour le bien de l'histoire.

L'illustrationci-dessous représente la narratrice Cheshire sous une forme humaine.
Les Déesses se déchainent
Introduction


Bien le Bonjour à vous jeunes Humains, je me présente Cheshire. Oui, Oui ! Le Chat !
Vous allez surement vous dire « Mais, qu'est-ce qu'il fait là celui la ? » très juste que fais-je donc ici ?... En attendant que cela me revienne, que diriez-vous d'une petite devinette ? Savez-vous pourquoi un corbeau ressemble à un bureau ? Non ? Vous donnez votre langue au Chat ? Héhéhé. Elle est bonne n'est-ce pas ? La langue au Chat Hahahaha... Hum d'accord ce n'est pas drôle. Comment ? Le corbeau ? Mais... quel corbeau ? Pourquoi un corbeau ressemblerait-il à un bureau ? Mais vous êtes fous !
AH ! Cela me revient, je suis ici sur la demande express de l'auteur de cette fanfiction pour vous raconter une histoire. L'histoire de la Vengeance de trois Déesses envers leurs moitiés.
Asseyez vous confortablement mes chers petits, le vieux Chat que je suis va commencer la petite histoire.

L'histoire à eu lieu il n'y a pas si longtemps de cela, juste quelques années après la dernière Guerre Sainte. Nous sommes en période de paix, le corps de Hadès qui fut détruit dans cette guerre fut reconstitué par Zeus lui-même, qui par la même occasion libéra l'âme de Poséidon de son urne et libéra les chevaliers d'Or de la colonne de pierre dans laquelle ils avaient été emprisonnés par Apollon et Artémis. Les deux Dieux se firent taper sur les doigts au passage ainsi que Poséidon et Hadès pour avoir pris la décision de l'extinction de la race humaine sans lui en avoir toucher un seul mot, et pour finir félicita sa fille chérie Athéna. Il força en quelque sorte sa fille à passer un pacte de non agression avec ses oncles, qui eux furent menacés par leurs épouses respectives, bonnes amies avec la Déesse de la Sagesse.

L'histoire commence donc en ce beau matin de Mai fleuri au Sanctuaire, au deuxième étage du treizième temple. A cet étage une seule porte donne sur un immense appartement, dans les quartiers de la Déesse Athéna (vous l'aurez compris elle a tout l'étage à elle) :

_ NON! S'exclama une jeune fille aux cheveux couleur lilas.

_ Alors celle-ci conviendrait peut être mieux à sa Majesté...

_ Ah non ! Je vais avoir l'air d'un panier garni là dedans! Comment voulez-vous que je réussisse à l'avoir si je ressemble à Bozo le clown! Il va prendre ses jambes à son cou !

_ Pffff! Alors celle-ci ?

_ J'ai déjà essayé, le transparent ne fait rien sur lui, j'avais même mis du gloss !

*Sifflement pour la photo de la femme fatale*

_ Vous êtes sure que c'est un homme au moins ? Car n'avoir aucune réaction devant une femme avec une robe où on voit tout en dessous n'est pas normal pour un homme ! Vous êtes sure qu'il n'a pas de préférence pour les hommes...

La Déesse se retourna pour faire face à sa servante et lui lança un regard noir qui sous entendait « Attention à ce que tu dis ma cocotte si tu veux pas te ramasser mon sceptre dans ton si joli minois ! », servante qui se demandait d'ailleurs si elle n'allait pas se défenestrer sous peu. C'est vrai quoi ! Il y a grandement plus intéressant à faire que de passer ses matinées entières à faire la conseillère pour une Déesse emprisonnée dans le corps d'une adolescente... Pourquoi diable avait-elle accepté cette promotion ? Ah oui, elle s'attendait à devenir la servante d'un des chevaliers d'or, mais une promotion c'est comme un paquet surprise, tu ne sais absolument pas sur quoi tu vas tomber. C'est ainsi qu'elle s'était retrouvée là, à aider la Déesse à attraper dans ses filets celui que l'on appelle « le héros », et dire que la personne qui servait le chevalier du capricorne était partie à la retraite, elle aurait bien tenté sa chance si le Grand Pope ne lui avait pas fait les yeux de cocker pour qu'elle assiste la jeune Princesse.

_ Je pourrais peut être mettre cette jolie robe à fleur et proposer à Seiya une promenade et un Pique-nique dans le jardin. Fit la Déesse enthousiaste. Quoique celle-ci n'est pas mal non plus...Ou peut être celle là...
La servante soupira, oui la journée allait être longue, très longue même.

Laissons la Déesse à ses chiffons, fuyons avant d'assister à un véritable défilé de mode qui risque de durer des heures et des heures. Quittons donc la terre et dirigeons nous vers l'océan, plongeons dire bonjour aux petits poissons ...

Sous l'océan il y a donc... Des poissons ! Pas que des poissons non ! Il y a le temple sous marin de Poséidon. Un lieu enchanteur où le ciel n'est autre que l'Océan lui-même, imaginez vous regardant passer dans le ciel une colonie de baleines, les édifices de ce monde sous marin sont même en coraux multicolores ! Tout pour la beauté des yeux ! Poséidon est et a toujours été un grand amateur d'art. A gauche du pilier Main Blade Winner se trouve une jolie petite Villa à l'architecture de style second empire. Ce sont les quartiers de la redoutable, la sulfureuse, la somptueuse...Amphitrite, Déesse et épouse légitime du Dieu des Océans Poséidon, qui est actuellement dans un état de rage folle:

_ JE LE HAIS!!!!!!!!!!!!
* bruits de porcelaine que l'on brise*  Paix à ton âme, oh toi vase de la Dynastie des Ming.

Amphitrite, fille de Nérée et de Doris, la plus jeune de toutes les néréides, la plus belle aussi mais celle ayant le plus sale caractère (Eh oui! Que voulez vous c'est la dernière fille de Nérée donc la plus chouchoutée par tout le monde, c'est la fille à son papa!). Un mètre soixante et onze de hauteur et encore elle triche (elle porte des talons d'au moins huit centimètres si ce n'est pas plus), pour cinquante et un kilos pas un gramme de plus ! Des cheveux bleus émeraude descendant en cascade jusqu'à sa taille, lisses sur le devant pour la frange ainsi que les deux longues mèches encadrant le visage de la Déesse, et bouclé en anglaises derrière le tout attachés en queue de cheval haute relevée sur la tête et tenue par un peigne en forme de coquillage ouvragé de pierres précieuses.

L'une des nombreuses particularités de cette Déesse étaient ses yeux, yeux actuellement rouge de colère, car oui la déité avait les yeux qui changeaient de couleur selon son humeur, ainsi tout le monde pouvait savoir à quoi s'attendre face à celle-ci. (Vous l'avez donc compris le rouge est pour la colère, le bleu cyan pour la joie, le blanc pour la peur, le vert pour le calme, rose l'amour et noire... Heu... Mieux vaut ne pas l'avoir en face quand elle à les yeux noir, cela signifie que la chère Déesse a dépassé le stade de la colère et qu'elle est au niveau au dessus... Ah et un conseil lorsque qu'elle les a noirs, évitez d'être dans l'eau à ce moment là ou nagez très vite ! Très, très vite...)

_ Je te jure Delphin, si j'en vois encore une à ma place, en train de glousser comme un cachalot après lui, JE FAIS UN GÉNOCIDE DE SERVANTES SUR LA PLACE PUBLIQUE !!!!!!!

_ Il me semble ma Dame que la dernière, qui était une rouquine, a mystérieusement disparue.

Delphin, le servant et garde du corps d'Amphitrite ne put admirer le joli sourire sarcastique qui s'était figé sur le visage de sa maîtresse, actuellement de dos, suite à l'énonciation de la disparition de la rouquine en question.

Delphin, marina du Dauphin, était au service d'Amphitrite depuis sa réincarnation, à chaque réincarnation de la Déesse, le marina du Dauphin avait sa place à ses côté, tout comme son mystérieux animal de compagnie dévoreur de servantes...
Le marina du Dauphin, n'est pas un amateur de combat, artiste dans la tête, celui-ci préfère amplement composer sur son jamisen. Son corps lui-même prouve que le jeune homme n'est pas fait pour les jeux de brutes. Un air androgyne, une musculature fine presque transparente, une peau blanche, un visage anguleux, des yeux couleur bleu de Chine, des cheveux bleus presque argentés mi-longs retenus par un foulard, une boucle d'oreille qui pend à l'oreille droite ainsi que de longues mains, fines et délicates, cet homme est plus une œuvre d'art qu'autre chose, on ne l'imagine pas au service de l'armée sous marine et pourtant, je peut vous l'affirmer, lorsque la vie de celle à qui il a juré fidélité est en danger, il peut être un adversaire redoutable.

_ J'ai une idée! Fit la Déesse.

_ Zeus nous en préserve!

La Déesse se tourna vers son garde du corps, une moue à la fois enfantine et boudeuse sur le visage.

_ Tu vois c'est toujours comme ça avec toi, t'es méchant avec moi! Fit-elle avec une voix de petite fille.

_ Vous savez bien ma reine que mon passe-temps favoris est de vous charrier.

_ Bon mon idée!

Delphin leva les yeux au ciel, qu'est-ce que sa reine allait encore inventer... Question plan bizarre la Déesse des Océans avait l'esprit très fertile.

_ Alors je vais voir le monsieur tout moche qui se transforme en n'importe quoi...

_ Le Lumnade...

_ Ouais ! Les limonades si tu le dis !


_ Pfffff !

_ Bon ! Je vais voir les Limonades...

_ LUMNADE ! L.U.M.N.A.D.E !


_ Mais quoi?

Delphin poussa un soupir à fendre l'âme, c'est qu'en plus sa reine ne le faisait pas exprès.

_ Euh... Donc je vais le voir, je lui demande de prendre l'apparence d'une de ces sales femelles qui osent baver devant mon mari, d'allez le voir, de le charmer et de le piéger en reprenant sa forme originelle sous les yeux de la chose qui me sert de mari.

_ Avec tout le respect que je vous dois ma reine, je doute fort que votre plan fonctionne...

_ Et pourquoi ça?

_ Tout simplement parce que le Lumnade ne voudra pas salir son honneur en fleuretant avec votre mari, et qu'il ne voudra pas finir transformé en anchois une fois que Poséidon saura la vérité.

_ Moi aussi je peux le transformer en anchois s'il ne fait pas ce que je lui demande de faire!

Delphin soupira.

_ Ce n'est pas pareil... Poséidon a plus de matière à faire peur que vous...

_ COMMENT CA ?!! MOI AUSSI JE PEUX FAIRE PEUR!!!

_ Oui ! Oui ! Bien sur ! Mais votre mari a ce charisme écrasant qui ...

_ C'est bon laisse tomber j'ai compris ! Fit la Déesse quittant le salon de sa demeure en claquant la porte de colère derrière elle.

Delphin souffla, et voilà il allait encore devoir présenter ses excuses à sa reine pour avoir été la voix de la raison et osé ne pas être du même avis qu'elle. Foutu caractère !

Quittons la Déesse des Océans, laissons la à ses crises de nerfs quotidiennes, et rejoignons la dernière protagoniste principale de cette histoire. Elle se trouve en ce moment même au Pandémonium aux Enfer, là où le joli matin de Mai fleuri ne se rend pas. Là où tout est sombre, où au lieu d'entendre les oiseaux gazouiller et les baleines chanter dans le ciel qui n'est autre que l'océan, ce sont les cris des damnés que vous entendez au loin. Cela déprime vous ne trouvez pas?

Dans une salle de réception une femme attend. Attend quoi? Ça elle ne le sait plus vraiment, cela fait tellement longtemps qu'elle attend assise sur son siège devant une table mise pour deux personnes. Elle a sorti la jolie nappe brodée de fleurs d'or qu'elle affectionne tant, l'argenterie et les chandelles sont de sortie aujourd'hui aussi. C'était censé être un diner parfait entre elle et une autre personne.

C'est triste à dire, mais cette personne ne viendra pas.

La femme seule se prénomme Perséphone, elle a les cheveux rouge cachemire, longs, lisses, doux et soyeux. Ses yeux sont deux perles de verre aussi bleues qu'un ciel d'été. Une peau aussi blanche que la porcelaine, des lèvres de la couleur d'un bouton de rose, des joues roses. C'est là la description d'une vrai poupée de cire vous ne trouvez pas ? C'est une Déesse, l'unique fille de Déméter et l'une des nombreuses de Zeus. C'est peut être pour ça que celui-ci a laissé Hadès, dieu des enfers, enlever la fille chérie de Déméter pour l'épouser.
Allons tout le monde sait que Zeus a mieux à faire, il est comme son frère ainé Poséidon, il court après tout ce qui bouge et puis la fille chérie de Zeus c'est Athéna, il n'a que faire des autres. (A la place de Seiya d'ailleurs j'aurais peur, servir de parabole électrique très peu pour moi !)
L'histoire de l'enlèvement de Perséphone avait d'ailleurs fait du grabuge sur l'Olympe, sa mère était entrée dans une sorte de dépression et se laissait mourir emportant dans sa déchéance la vie sur terre. Hadès avait bien faillit exterminer la race humaine grâce à cela, un plan qu'il ne lui était pas du tout venu à l'esprit sur le coup, son vrai but était de se trouver une épouse pour égailler les Enfers, pour y ajouter une touche de féminité. (Où ça ?)

Perséphone s'était au départ comportée en vrai tigresse, refusant de converser avec ce Dieu pervers qui avait osé l'enlever juste au moment où elle admirait une jolie fleur. Et il avait eu l'audace de lui mettre la main aux fesses ! (Lors de l'enlèvement il l'avait transporté sur son épaule comme un sac à patates et avait malencontreusement posé sa main là où il n'aurait pas fallu.)
La Déesse avait fini par céder au beau dieu ténébreux, plongeant ainsi un peu plus Déméter dans sa dépression. Zeus avait du y mettre son grain de sel, comme d'habitude, s'il s'était mêlé de ses affaires celui là Hadès serait à l'heure qu'il est notre prés... non désolé...il aurait en tout cas mis la main sur la terre depuis longtemps !

Quoiqu'il en soit papa Zeus avait parlé, on a donc fait comme avec les petits enfants, on partage le jouet en deux ! La moitié d'une année chez l'un et l'autre moitié chez l'autre, comme ça pas de jaloux !
Ah ! C'était le bon temps, celui où Hadès passait six mois à tourner comme un lion en cage à attendre que sa femme lui revienne, c'est qu'il est jaloux le Dieu des Enfers, il n'aime pas partager. Généralement les spectres détestaient particulièrement cette période. Normal ils sont pas fous ! Vous voudriez, vous, avoir votre patron tout le temps sur le dos même en dehors des heures de travail ?

Mais depuis la paix instaurée, Perséphone ne retourne plus aux côté de sa mère six mois par an comme avant et reste aux côté de son époux à qui elle a juré qu'elle ne le quitterait plus, et voilà le résultat !
Aujourd'hui que reste t-il?
Que reste t-il de nos amours?
Que reste t-il de nos beaux jours?
Une femme seule qui attend...

Aujourd'hui était censé être une journée où ils seraient seuls tous les deux, comme il y a deux semaines où il n'était pas venu non plus ! Faudrait t-il qu'elle place un rendez vous sur l'agenda de son époux pour avoir un peu de considération ?
Après tout qu'était un anniversaire de mariage face à la gestion des enfers qui rappelons le est tenu par cent huit spectres après Hadès, dont trois juges très compétents et deux dieux qui passent leurs temps à jouer de la musique à Elision pour des Elfes et qui ne mettent même pas un seul de leurs divins petons dans les Enfers.

Et aujourd'hui que reste t-il ?

Une femme qui est seule. Une larme coule sur la joue de la divinité, ce n'est que la première, une seconde tombe, puis une autre, puis se sont des sanglots qui remplissent la pièce.
Il ne faut pas pleurer pour un idiot petite Déesse, il ne sait simplement plus ce qui est précieux. Si tu cherches un peu de réconfort va donc respirer les parfums de ton enfance, ceux qui sentent le printemps. Là-bas quelqu'un t'attendra toujours pour pleurer avec toi.

lundi 4 juillet 2011

Chapitre 1 "Les dents de la Mer"

L'illustration ci-dessous est faite par moi, elle représente la déesse Amphitrite et son fidèle majordome, Delphin Marinas du Dauphin.

La plupart des personnages appartiennent à Masami Kurumada. Le personnage narrateur Cheshire est le personnage du chat d'Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll.

 Les dieux et déesses : Perséphone, Amphitrite, Héra, Déméter et Hermès appartiennent à la mythologie grecque  seul leurs description m'appartiens.

Le voleur Genesis appartiens à l'univer de Square Enix, il s'agit de Genesis Rhapsodos de Final Fantasy VII Crisis Core.

Le voleur Childérich appartient au jeux Suikoden V.

Les personnages inventés par moi : Delphin, marina du dauphin inspiré du dauphin qui enleva Amphitrite dans la mythologie grecque, les voleurs au service de Hermès: Anro , Lenwë, Mattew, Asriel, Anarisse, Tamal et l'animal de compagnie d'Amphitrite qui dévore les servantes.
S'il vous plaît veuillez ne pas prendre/copier ses illustrations, ni les personnages que j'ai pu inventées pour le bien de l'histoire.

Chapitre 1

Bonjour à vous jeunes Humains, me revoici pour vous conter la suite de cette histoire. Comme vous avez pu le constater nos trois Déesses ont du pain sur la planche pour se faire enfin remarquer de leurs chers et tendres. Rejoignons les pour connaître la suite de leurs aventures.

"Les Dents de la mers"


Nous disions donc en ce matin de Mai fleuri, une certaine Reine des océans avait quitté ses quartiers (Danger ! Danger !) sa colère remonté à bloc envers son stupide époux mais aussi son idiot de serviteur incapable de reconnaître le génie de sa Déesse.
Elle ne pourrait pas se servir des Limonades (Kassa des Lumnades) et bien soit, elle avait toujours la carte Squally en main, mais Squally ne pourra pas tous le temps faire disparaître les crevettes qui frétillent des antennes face à son Posé-chéri, un jour quelqu'un se rendra compte de son manège.
C'est donc d'un pas rageur qu'elle rentra dans le palais de Poséidon. La demeure du Dieux des Océans portait d'ailleurs bien son nom de palais haut de vingt mètres en tout (sachant qu'il possède un rez-de-chaussée en plus d'un étage) sur une superficie de deux milles mètres carré, autant dire que Poséidon voit les choses en grands. Le palais dont l'architecture en marbre blanc datait de l'Antiquité était entouré de ses huit piliers soutenant les sept Océans gardés par les sept généraux de Poséidon :


 Le Main Blade Winner se situe au nord.


Le pilier de l'Atlantique Nord gardé par le Dragon des mers se situant au Nord Ouest .


Le pilier de l'Arctique gardé par le Kraken au Nord Est.


Le pilier de l'Atlantique Sud gardé par la Sirène Maléfique à l'Ouest.


Le pilier du Pacifique Nord gardé par L'Hippocampe à l'Est.


Le pilier de l'Antarctique gardé par les Lumnades au Sud Ouest.


Le pilier du Pacifique Sud gardé par Scylla au Sud Est.


Le pilier de l'océan Indien gardé par krisha'or.



Habillée d'une de ses nombreuses robes à dentelles et froufrous appelés « robe à la Polonaise », un des nombreux costumes que portaient les femmes de la cours Française au XVII° siècle (dix-septième siècle) sous le Roi Louis XIV (quatorze, je le met au cas où il y ai des personnes qui ne savent pas lire les chiffres romains).
Vous allez vous dire que ses toilettes digne des grandes dames sont passées, surtout que l'ont est à présent au XXI° siècle (vingt et une nième siècle), mais que nenni ! Cela forme L'originalité vous ne trouvez pas ?! Vous vous peinturluré bien les doigts de pied avec du verni vous, non ?
Mais comme le disait la Déesse des Océans cela permettait surtout de ne pas la confondre avec l'une de ces gourd... oups ! Excusez moi, évitons d'être grossier. Gourgandine serait le terme le plus judicieux pour définir cette race féminine vivant au sanctuaire sous-marin.

Amphitrite se dirigeait donc vers la salle de réunion où elle savait que son époux se trouvait, les gardes de la porte firent une grimace en la voyant arriver de loin et commencèrent à s'agiter (Ha ! Pas bon ça ! C'est mauvais signe !)

_ Bonjour, je souhaiterais voir mon époux immédiatement. Fit Amphitrite.

Un garde lui répondis en bégayant et en tremblant comme un poisson hors de l'eau.


_ B...Bon...Bonjouuuuur...Mama...ma Reine.

Le second garde regarda son voisin se démener face à la Déesse des Océans, l'air aussi effrayer que lui, se demandant si il aurait la chance de pouvoir assister au repas de famille ce soir en compagnie de sa femme et ses enfants.

_ Sa...Sa...Maj...Majest...é est ...o...O...Occup...

_ O quoi ? fit la reine

_ O...Occupé

_ Comment ça occupé ? La réunion avec ses généraux s'est terminée il y à déjà une heure et demie. Qui plus est je suis ta Reine et si je te dis que je veux voir mon mari tu n'as pas le droit de me le refuser, tu me dois le respect, es-ce que c'est clair ?

_ O...Oui ma reine.

_ Bien ! fit elle.

Elle ne frappa pas à la porte (après tout c'est la Reine et les Reines ne frappe pas aux portes ont leurs ouvrent celles-ci tout en faisant une petite courbette) et entra dans la salle, cela lui permis de prendre son époux en flagrant délit de bécotage avec une petite nouvelle servante (la remplaçante de la rouquine disparue, paix à son âme !)

_ Ça va ? Je vous dérange pas trop ? Lança Amphitrite acide les bras croisés sur sa poitrine, le regard lançant des éclairs.

La blondinette, car elle est blonde la nouvelle, se retourna et lança méchamment à la Déesse « Qui t'es toi? On t'a jamais appris à frapper aux porte? T'es pas dans un moulin ! » (Elle a du cran la petite nouvelle, tellement de cran qu'elle en a oublié de se renseigner sur ses supérieurs.)
La Déesse vit rouge, s'avança et gifla l'inopportune ce qui l'envoya à l'autre bout de la pièce (Je vous rappelle qu'Amphitrite est une Déesse donc c'est possible qu'elle ai une force surhumaine), tout cela sous le regard pétillant de Poséidon, qui ne fit rien à part sourire comme un benêt (T'as raison mon pote ! C'est plus marrant en spectateur ! Combat de femmes ! Du catch ! Du catch ! Battez vous dans la boue ! Dis t'a pas du pop corn par hasard ?).

_ Je te prierais de respecter ta Déesse et Reine et de lui parler sur un autre ton ! (T'as raison ! Ses jeunes alors, plus aucun respect de nos jours !) Sors d'ici immédiatement ! Gardes !

Les deux gardes de la porte entrèrent et se mirent au garde à vous.

_ Votre Majesté ?

_ Mettez moi cette incapable aux fers avec cinquante coups de fouets pour m'avoir manquer de respect. 

_ Bien votre Majesté !

Les gardes s'en allèrent emmenant avec eux l'infortunée servante. La Déesse se retourna vers son mari et remarqua que celui-ci se retenait d'éclater de rire.



_ Et tu trouve ça marrant toi ?!

Ce fut la phrase de trop pour Poséidon qui éclata de rire montrant du doigt son épouse en se tenant les côtes.

_ Hihihi ! Hahaha !

_ Pfff ! Souffla Amphitrite outré, croisant les bras et boudant.

_ Hihihi...A...Amour...Tu verrais ta tête ! Fit Poséidon tentant de prendre son épouse dans ses bras tout en continuant à rire.

Amphitrite se défis des bras de celui-ci et lui cria :

_ Ne me touche pas!

Celle-ci s'enfuie sous les rires de son époux, elle dévala le palais en courant et sorti de celui-ci.

Il y avait un étang qui se jetait surement dans un des sept océan, elle seule avait le droit d'y accéder, il se situer derrière sa demeure, cet étang se jetait tout droit dans l'océan. D'ailleurs la baie vitrée de la Bibliothèque qui se trouvait au sous sol de sa demeure, donnait une vue sous l'eau de celui-ci.
La Déesse s'écroula près du bassin et éclata en lourd sanglots.

_ *Snif* Squallyyyy...*snif*...J...Je... Sais plus quoi faire *snif* Boooohouuuuuhouuuu...

Le dit Squally apparut à la surface, ses yeux noir et globuleux regardant sa maîtresse, partageant toute sa tristesse.


Squally était la créature mystérieuse dévoreur de servantes, dix-huit mètres de long pour soixante tonnes (Whoua ! Le beau bestiau !).
La créature répondant au doux nom de Squally, aussi appelé par les scientifiques carcharodon mégalodon, ancêtre soi disant préhistorique du grand requin blanc, aurai soi disant disparu, du moins sa race, depuis des milliers d'années, mais bon qui sait vraiment ce qui se cache dans nos profondeur sous marine ?

Bref ! Notre petite Déesse pleurait avec pour seule oreille attentive un gros, très gros requin tueur. (Eh bin ça calme ! Dire que certains pleurent en serrant leurs ours en peluche dans les bras...)
Au bout de plusieurs minutes, les sanglots se tarirent, Amphitrite essuya ses joues humides avec ses manches et décida de se changer les idées. Et quoi de mieux que d'aller raconter à ses meilleurs amies son malheur, un mégalodon c'est bien, mais, ça ne parle pas, ça connaît pas les mots pour consoler. Au Diable (pas Hadès hein parce que lui il est pas mieux !) son crétin de mari, Delphin passerait sûrement des heures à la chercher. Tans pis pour lui aussi ! Qu'il cherche !
La Déesse disparue dans une explosion de bulles.

dimanche 3 juillet 2011

Chapitre 2 : "Quand une Fleur se fane".

La plupart des personnages appartiennent à Masami Kurumada. Le personnage narrateur Cheshire est le personnage du chat d'Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll.

 Les dieux et déesses : Perséphone, Amphitrite, Héra, Déméter et Hermès appartiennent à la mythologie grecque  seul leurs description m'appartiens.

Le voleur Genesis appartiens à l'univer de Square Enix, il s'agit de Genesis Rhapsodos de Final Fantasy VII Crisis Core.

Le voleur Childérich appartient au jeux Suikoden V.

Les personnages inventés par moi : Delphin, marina du dauphin inspiré du dauphin qui enleva Amphitrite dans la mythologie grecque, les voleurs au service de Hermès: Anro , Lenwë, Mattew, Asriel, Anarisse, Tamal et l'animal de compagnie d'Amphitrite qui dévore les servantes.
S'il vous plaît veuillez ne pas prendre/copier ses illustrations, ni les personnages que j'ai pu inventées pour le bien de l'histoire.

L'illustration ci-dessous représente Perséphone et en fond c'est Hadès. 

Chapitre 2

Quand une fleur se fane.


    Elle avait attendu des heures seule à pleurer, dans cette grande salle froide avec pas un seul mégalodon du nom de Squally pour la consoler elle. Elle avait pu ainsi admirer le mobilier de la salle de réception dans laquelle elle se trouvait. C’était une grande salle dont les murs étaient en pierre grise, et qui avait un mobilier ancien. La plupart des meubles dataient de l’époque du Moyen Âge et étaient tous en bois très massif et surtout très couteux. Il y avait par ci par là des teintures décorées avec des motifs complexes au fil doré, suspendues aux murs et qui descendaient jusqu’aux sol. Des chandeliers étaient accrochés aux murs. Nous avions beau être au vingt et une unième siècle, dans cette demeure les habitants ne connaissent pas l’électricité et s’éclairent à l’ancienne, à la bougie.

Nous disions donc dans l’épisode précédent (l’introduction : les chapitres 1, 2 et 3 se passent quasiment au même moment) que dans cette salle la Déesse attendait son cher et tendre assise à une table, pour fêter leur anniversaire de mariage.
Cette table était bien grande elle faisait dix mètres de long et encore ce n’était pas la plus grande car sachez que la salle actuelle où se trouve la Déesse n’est accessible qu’aux spectres les plus hauts gradés (Hadès lui-même, les trois Juges et parfois les Dieux Jumeaux, quand ces fainéants veulent bien quitter leur quartiers à Élision bien sûr).
Il existait donc une autre salle de réception dans le palais d’Hadès, plus grande et qui permettait d’accueillir tout le gratin des Enfers.

Perséphone se trouvait donc dans un décor de vieux château fort du Moyen Âge, un château fort plus germanique que Français.
Vous allez sûrement me dire qu’Hadès est Grec et que de ce fait il devrait vivre dans un temple en marbre comme Poséidon, avec un mobilier datant de l’Antiquité. Je vous rassure tout de suite c’est le cas ! Mais vous vous souvenez comme moi qu’Hadès possédait un pied à terre en Allemagne, un somptueux château où vivait Pandore, somptueux château qui fut d’ailleurs détruit lors de la Guerre Sainte par ces bourrins de chevaliers d’Athéna (Aucune délicatesse ces gens je vous jure, aucun respect pour le si beau patrimoine Allemand !)
C’est de là que vient le mobilier, Hadès à réussi à sauver quelque meubles et comme le Dieu des Enfers déteste gaspiller il s’est dit qu’il allait décorer son palais des Enfers avec ce mobilier.

Perséphone avait donc attendu des heures jusqu’à ce qu’elle finisse par s’endormir de fatigue à force d’avoir trop pleuré, la tête posée au creux de ses bras sur la table. Ce ne fut pas Hadès qui vint la réveiller d’un doux baiser, comme dans les contes de fées où la princesse est toujours réveillée à la fin par le baiser d’un prince charmant. Non ! Ce fut la personne chargée de l’entretien de la salle qui réveilla sa Déesse en lui demandant si elle pouvait à présent faire le ménage. La Déesse acquiesça et s’excusa auprès de la pauvre fille pour l’avoir retardée alors que celle-ci ne faisait que son travail. Elle sortit donc de la salle.

Elle marcha d’un pas incertain, les yeux rivés au sol, ne regardant pas où elle allait, elle heurta ainsi violemment quelque chose de dur et perdit l’équilibre. Elle serait probablement tombée la tête la première sur le sol en pierre si une main secourable ne l’avait pas rattrapée à temps. La Déesse releva les yeux le cœur aux bord des lèvres, espérant fort voir son prince charmant aux cheveux d’ébène et aux yeux aussi verts que deux lacs profonds, hélas ce sont deux orbes d’un bleu aussi sombre que la nuit qui lui firent face.

_ Majesté, allez-vous bien ? Fit Eaque du Garuda, car c’était bien lui, l’un des fidèles juge des Enfers. Il releva Perséphone et l’aida à tenir sur ses pieds, celle-ci lui répondit la tête basse dans un murmure:

_ Oui, merci.

Le Garuda détailla sa Déesse et remarqua les yeux rouge et la mine tristounette de sa Reine, il s’apprêta à questionner sa Déesse mais il n’eut pas le temps.

_ Eaque que fais-tu ? Dépêche toi on est débordés, on a eu une guerre civile en Afrique avec pour résultat plusieurs centaines de morts, avec la grippe qui court aux Enfers, on sera bientôt débordés ! Déjà qu’on a Gordon, Sylphide et Pharaon de cloués au lit et Rune qui commence à tousser, il ne manquerait plus que Charon ou l’un de nous trois pour fermer boutique !… Oh ! Votre Majesté veuillez m’excuser je ne vous avais point vue. S’exclama Minos en remarquant Perséphone.



_ Veuillez m’excuser mais je me dois de kidnapper mon collègue, les Enfers sont sans dessus-dessous avec ce virus. Faites attention à vous ma Reine, il serait fort dommage que vous l’attrapiez. Sur ce nous allons nous retirer ma Reine, au revoir ! Fit le juge du griffon tout en tirant son collègue par la peau du cou.
Collègue qui se démenait pour le faire lâcher prise, il avait bien vu que sa Déesse n’allait pas bien et il aurait bien voulu savoir ce qui ce passait. Non ! Il se dit que quelque chose de grave se tramait.


Perséphone regarda les Juges disparaître au coin du couloir, elle continua à marcher se dirigeant vers le bureau de son mari. Devant la porte de celui-ci elle toqua et entra. Hadès était là, derrière son bureau examinant des documents provenant sûrement des différentes prisons. La Déesse appela son mari :

_ Hadès ?

_Hm ?

_ Je voudrais te parl…

_ Pas maintenant Perséphone, je suis désolé, j’ai beaucoup de travail. Fit il sans lever les yeux des documents.



_ D’accord. Fit la Déesse dans un soupir de tristesse elle sortit du bureau non sans lancer un dernier regard à son époux.

De retour dans le couloir elle resta accoudée à la porte quelques minutes jusqu’à ce qu’elle se décide elle aussi à se changer les idées. Elle disparue dans une pluie d’étincelles et de pétales de fleurs.